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    Dieu t'aime comme tu es

     

    Quelque mots pour ceux qui souffrent de leur aspect et qui se sentent incompris. Combien de personnes sur cette terre, à cause de leur apparence, souffrent en silence ; et qui ne manquent pas dans une journée les occasions ou les grand Cœur remplis d'amour viennent sans aucune gêne ni respect mettrent cruellement le doigt en plein sur la plaie. Et ils se targuent de leur intelligence ! Surtout lorsque c'est en public et que par là, ils se sont fait valoir auprès des autres.... qui eux sont aussi cruels que celui ou celle qui a fait ce mal ; OUI AUSSI CRUEL PUISSE QU'ILNE DÉPRÉCIE PAS LA PERSONNE MAIS L'ENCOURAGE PAR LEUR ATTITUDE  EN RIANT. C'est une forme d'encouragement et donc tout aussi condamnable.


    Combien de pleurs dans le secret ? Combien il est difficile de ne pas sombrer sans compter qu'il faudra demain et tout les autres jours, continuer d'affronter le regard des autres toujours aussi pesant. Cette souffrance encore augmentée par la personne qui, cette fois, na rien fait mais passe seulement et elle contrairement à toi n'a pas de problème. La douleur qui fait dire : "Mais pourquoi moi ?" ; elle au moins elle vit bien et elle a un cortège de personnes qui se retournent à sont passage pour l'admirer alors que pour moi,  oh oui bien sûr,  ils se retournent aussi mais c'est avec dédain et pour parler suffisamment fort pour être entendus des autres.

    Quelle cruauté que de ne pas laisser la personne en peine qui a déjà du mal à se supporter ! Car en définitif, au fil du temps, il s'est  créé un état d'esprit de dépressions à peine  convenable; voyez-vous, dans le siècle présent où l'amour pour les personnes se mesure à son image, à son apparence extérieur les gens ont oublié que nous ne choisissons pas un grand nombre de caractéristiques de notre personne : couleur de peau, nature de cheveux, poids, sensibilité et encore bien d'autres choses ...

    Ami (es), une personne te comprend et même bien et t'aime telle que tu es :  c'est Celui qui regarde au cœur c'est écrit dans la Bible. Souvent dans la Bible il y a des descriptions de personne mais une en particulier devrait pouvoir te montrer que aux  yeux de Dieu, tu as du prix telle que tu es ; c'est la description de Jésus. Il est dit de Lui que c'était un homme de douleur habituer à la souffrance, homme de douleur, homme de qui on détournait les regards. Prend le temps de lire dans la Bible Esaïe chapitre 53 et tu verras. Confie toi en Lui, Il peut te consoler et tout changer autour de toi. Met en Lui ta confiance et Il agira,  Il déchirera le mur de séparation et Sa joie sera la tienne  ; Il a vaincu ce combat et Sa victoire.  Il veut qu'elle habite en toi. 

     

    Christian.L 

     

     

     



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  • La Bible : un bref historique (1)
    Exode 24. 12
    "L'Éternel dit à Moïse : ... Je te donnerai les tables de pierre, et la loi et le commandement que j'ai écrits."

    Marc 13. 31
    "(Jésus Christ dit : ) Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas."

    Le mot “Bible” vient d'un mot grec qui signifie “livre”. C'est le Livre par excellence ! C'est aussi le livre des records :

    -  Le premier ouvrage imprimé par Gutenberg vers 1450.

    - Le plus combattu : au cours des siècles, il a été interdit par des empereurs, des rois, des chefs d'état, des chefs religieux. Il a été brûlé, tourné en dérision ; il était “condamné à disparaître”, d'après Voltaire ! Mais au 21e siècle, il reste :

    -  Le plus traduit : totalement ou en partie, en plus de 2400 langues ou dialectes.

    -  Le plus largement diffusé : 6 milliards de Bibles ou parties de Bibles en moins de 2 siècles.

    Pour l'historien, la Bible est une source d'informations sur les civilisations anciennes. Pour l'artiste, l'écrivain, elle a été une source d'inspiration : tableaux, sculptures, œuvres musicales et littéraires. De même, beaucoup d'expressions du langage parlé sont issues de la Bible.

    L'histoire de sa transmission est étonnante : Depuis Moïse, il y a 3500 ans environ, jusqu'à l'invention du papier, les textes bibliques ont été gravés sur des tablettes d'argile, écrits sur du papyrus, puis sur des parchemins. Pendant 30 siècles environ, d'innombrables copistes ont travaillé avec beaucoup de soin pour recopier les textes bibliques. Mais avec l'imprimerie et les moyens modernes, tout a changé. La Bible est toujours là. Dieu, au cours des siècles, a veillé sur sa Parole !

    La Bible : un livre unique (2)

    2 Timothée 3. 16
    "Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice."

    2 Pierre 1. 21
    "La prophétie n'est jamais venue par la volonté de l'homme, mais de saints hommes de Dieu ont parlé, étant poussés par l'Esprit Saint."

    La Bible, livre unique, est une sorte de bibliothèque de 66 livres : 39 composent l'Ancien Testament, 27 le Nouveau Testament (dont les quatre évangiles).

    Inspirés par Dieu, plus de 40 auteurs ont rédigé ces livres sur une période de plus de 15 siècles : hommes politiques, rois, berger, pêcheur, médecin... Ils ont écrit d'un désert, d'un cachot, d'un palais, d'une prison, en exil... Le style de ces livres est tout aussi varié : récits, poésie, textes de sagesse, prophéties... Ni ouvrage scientifique, ni manuel d'histoire, ni traité de philosophie, la Bible traite pourtant de sujets fondamentaux : la création de l'univers et de l'homme, la question du bien et du mal, la vie quotidienne, l'avenir de l'homme, son salut.

    Peut-être direz-vous : “En quoi ce livre ancien peut-il me concerner ?” Par son contenu, toujours d'actualité ! Comme nous aujourd'hui, les hommes et les femmes des temps bibliques recherchaient le bonheur, la paix, des certitudes. Face à ces besoins, la Bible révèle le plan de Dieu pour sa créature. Plan pour le présent, et pour l'avenir. Plan d'un Dieu qui est amour et lumière.

    Au lecteur attentif et sans a priori qui en reçoit le message, la Bible apporte paix, pardon, espoir, consolation, réconfort. Elle devient le guide sûr de sa vie.

    “C'est le livre qui a séché le plus de larmes, éclairé le plus de consciences, apaisé le plus de remords, régénéré le plus de caractères” (Charles Secrétan, philosophe).

    La Bible : un livre pour vous (3)

    Psaume 119. 18
    "Ouvre mes yeux, et je verrai les merveilles qui sont dans ta loi."

    Psaume 119. 50
    "Ta parole m'a fait vivre."

    Psaume 119. 105
    "Ta parole est une lampe à mon pied et une lumière à mon sentier."

    Tout le monde s'accorde pour reconnaître à la Bible une place importante dans le patrimoine culturel et religieux de l'humanité. Pourquoi donc serait-elle jugée dépassée, en décalage avec le monde actuel ? Pourquoi donc la Bible ne répondrait-elle pas aux préoccupations de l'homme d'aujourd'hui ? Ses besoins fondamentaux auraient-ils changé à ce point ?

    Cher lecteur, prenez un peu de temps pour lire la Bible. Peut-être direz-vous : “J'ai essayé, mais je n'ai pas compris”. Pourtant, ses messages essentiels sont aisés à saisir. Commencez de préférence par la lecture du Nouveau Testament : évangiles, Actes des apôtres, épîtres. Évitez de lire au hasard, faites une lecture suivie. Ne vous laissez pas arrêter par un passage qui vous semble difficile, mais poursuivez la lecture.

    Le lecteur sincère ne peut qu'être interpellé par les sujets traités : Dieu, l'homme, le sens de la vie, de la mort. La lecture de la Bible établit une relation avec une personne vivante : Jésus Christ. Ses paroles ont bouleversé la vie d'innombrables hommes et femmes. Ce n'est pas un livre réservé aux savants, aux théologiens ou aux mystiques. C'est un livre pour tous. Allez à sa rencontre avec simplicité et espérance : vous y découvrirez un Dieu vivant et qui fait vivre. C'est lui qui l'a fait écrire pour vous.

    Vous trouverez la Bible dans les librairies, ou sur internet, ou chez l'éditeur de ce calendrier.

     

    La Bonne Semence

     

     

     


     


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  • Cicatrices du passé... souffrances d'aujourd'hui

     

    Souffrance, quand tu nous tiens...

    “ Elle disait : mon coeur est déjà trop lourd de secrets, trop lourd de peines. Elle disait que vivre était cruel. C'était l'hiver dans son coeur ” comme le chante Francis Cabrel. Chacun a ses rendez-vous avec la douleur...

    Pourquoi ?

    “ Lorsque je voyais des amis de mon fils, explique Suzanne, des jeunes qui passaient dans la rue, pleins de force, de vie, de gaité, il y avait toujours ce pourquoi, pourquoi chez nous... ” Pourquoi chez eux était-ce différent ? Pourquoi avaient-ils perdu un fils ?

    Ce pourquoi, Malika, hospitalisée un mois par an pendant toute son adolescence, se le demandait aussi : “ Pourquoi la maladie ? Et surtout pourquoi ma maladie ? Je ne comprenais pas. J'étais croyante et je m'attendais à ce que tout aille bien. J'en voulais à Dieu. Je l'accusais ”. Elle n'est pas la seule à s'élever contre la souffrance. Albert Camus, de son côté, écrit : “ Je refuserai jusqu'à la mort d'aimer cette création où des enfants sont torturés" (La peste ). Et il ajoute : “ Ce n'est pas la souffrance de l'enfant qui est révoltante en elle-même, mais le fait que cette souffrance ne soit pas justifiée... La souffrance use l'espoir et la foi" (L'homme révolté).

    Perplexes, troublés, beaucoup s'écrient alors : “ Je ne peux pas croire en Dieu quand je vois tout ce qui se passe ” ... guerres, tremblements de terre, cancers, viols, famines... 40'000 enfants qui meurent chaque jour dans le monde faute de nourriture ou de soins !


    Quelle explication peut-on donner ?

    A cette question, les Français répondent : (Sondage C. S. A. publié par L'Actualité Religieuse dans le Monde, 15 Mai 1994)

    La société est cause de trop d'injustice (58%).
    L'homme est un loup pour l'homme (23%).
    Il semblerait là qu'on ne peut pas croire en l'homme quand on voit tout ce qui se passe. Selon Albert Einstein, “ le vrai problème se trouve dans le coeur et dans les pensées des hommes... non dans la puissance explosive de la bombe atomique, mais... dans celle du coeur humain en faveur du mal ”. Tantôt victime, tantôt acteur de son propre malheur, l'homme récolte souvent ce qu'il sème ou ce que les autres sèment. Il reste bien sûr, les catastrophes naturelles, les maladies, les malformations... dont il n'est pas en général responsable.


    A qui la faute alors ?

    Nous sommes prompts à la mettre sur le dos de Dieu ; après tout, il aurait pu intervenir, empêcher le malheur ! Cependant, quand il nous protège, nous épargne un accident, nous voyons rarement son intervention ; alors nous proclamons haut et fort que nous avons eu de la chance et nous oublions rapidement l'incident. Selon la Bible, le problème de la souffrance est aussi vieux que le monde. En tout cas, il date du premier homme, créé à l'image de Dieu, qualifié de “ très bon ”.

    Il était bien dans sa peau, il parlait avec Dieu, la douleur et la mort n'existaient pas jusqu'au moment où il a voulu n'en faire qu'à sa tête. Mener sa vie indépendamment de Dieu, c'était son choix. L'humanité tout entière en porte encore les conséquences : le mal est présent à chaque génération, et tout être humain y apporte sa contribution. “ Il n'y a pas d'homme juste... (Romains, ch. 3, v. 10) Aucun n'agit comme il faut, pas même un seul (Psaume 14, v. 3). ” Voilà la cause des causes, le pourquoi général de la souffrance. Néanmoins, certains points d'interrogation demeurent : “ Pourquoi cet accident, cette maladie m'arrive-t-il ? Pourquoi moi ? ”

    C 'est ce “ pourquoi chez nous ” exprimé précédemment par Suzanne. “ Mais, poursuit-elle, j'ai fait confiance à Dieu, ce Dieu d'amour, qui connaît toute notre vie, qui sait de quoi elle sera faite. Mon Dieu, je ne comprend pas pourquoi, mais je sais une chose : Toi, tu sais pourquoi ! ”

    Dieu a ses raisons que la raison ne connaît pas toujours. “ Dieu n'est pas venu pour supprimer la souffrance, affirme Paul Claudel, il n'est pas venu pour l'expliquer. Il est venu pour la remplir de sa présence. ” “ Je me souviens de cette présence de Dieu dans ces moments de douleur très intense, confirme Reynald après le décès de son petit garçon. Je savais que le Dieu qui a créé le monde était avec nous, comme un père qui compatit à nos souffrances. ”

    Ecrasés par l'affliction, nous avons souvent le sentiment de vivre seuls notre galère. Où est Dieu ? Nous le supposons indifférent et comme Job, nous disons alors : “ L'âme des blessés jette des cris... Et Dieu ne fait pas attention à un tel scandale... L'homme naît pour souffrir comme l'étincelle pour voler" (Job, ch. 24, v. 12 et ch. 5, v. 7 ). Au bout du rouleau, les mains vides et le coeur brisé, Job a tout perdu, ses biens, ses enfants, sa santé, sa réputation, ses amis. “Voilà pourquoi je parle à tort et à travers, reconnaît-il, ce sont des mots en l'air d'un homme sans espoir " (Job, ch. 6, v. 3 et ). C'est le bouillonnement du sentiment humain terrifié par ce qui lui arrive Dans ces cas là, on a d'abord besoin d'être écouté même si on noircit le tableau, même si on s'en prend a tout 1e monde. Au milieux des tempêtes de la vie, les “ pourquoi ” jaillissent, mais la première nécessité est bien de se sentir compris, entouré, aidé. A ce propos, la fin du témoignage de Malika est significative : “ J'accusais Dieu, mais en même temps, j'avais besoin de lui, de son amour. Je souffrais du regard des autres, et il n'y avait que Dieu qui m'acceptait comme j'étais ”.


    Dieu est avec nous dans nos déserts

    “ Il est un abri au jour de la détresse. Il prend soin de ceux qui se réfugient auprès de lui " (Nahoum, ch. 1, v. 7). “ Dieu chuchote lorsque nous sommes heureux, remarque C. S. Lewis, il parle à notre conscience, et il crie quand nous souffrons. ” Ainsi Job dans sa misère pouvait confier à Dieu : “ Je ne savais de toi que ce qu'on m'avait dit, mais maintenant, c'est de mes yeux que je t'ai vu " (Job, ch. 42, v. 5).

    Selon nos choix, l'épreuve nous rapproche ou nous éloigne de Dieu. Mais dans tous les cas, elle nous change. Nous en sortons différents :

    Certains deviennent plus sensibles, plus ouverts comme Malika qui a appris à accepter les autres tels qu'ils sont. “ Ma musique est née dans la souffrance ” déclarait également Franz Schubert.
    Pour d'autres, le fossé se creuse encore plus entre eux et Dieu, entre eux et les autres. Ils se replient sur eux-mêmes. Ils ressassent leurs griefs et cela peut durer des années.
    “ Le passé, écrit Sartre, c'est un luxe de propriétaire. ” Accompagné d'amertume, c'est un poison pour le présent. Enfant battue à plusieurs reprises, cette jeune fille a maintenant décidé de tourner la page, de pardonner à son père. Dès lors, son agressivité disparaît, elle donne un autre sens à sa vie.
    Pourquoi pardonner ? Est-ce de la faiblesse ? Non. Et même si elle a longtemps considéré que son père ne méritait pas son pardon, elle s'est ensuite rendu compte qu'elle non plus ne méritait pas le pardon de Dieu. Et pourtant il le lui a accordé. Jésus-Christ a, en effet, porté la responsabilité de toutes ces fautes, de toutes les nôtres. C'est pour cette raison qu'il est mort sur la croix. La souffrance, il sait ce que c'est.


    Dieu aussi la connaît : Il a donné son Fils.

    Alors, ne disons peut-être pas trop vite : “ Si Dieu était bon, il ne permettrait pas ! ” La question de la souffrance reste délicate et complexe. Cependant, une chose est certaine : Dieu demeure “ un refuge au jour du malheur " (Jérémie, ch. 17, v. 17 ).

    Peut-être même, un jour, aurons-nous l'occasion de constater comme Joseph : “ Vous aviez formé le projet de me faire du mal, mais Dieu l'a transformé en bien (Genèse, ch. 50, v. 20 ) ”.

      source : bibleouverte

     

     

     



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  • La vie est-elle absurde ?


    Job 3. 20
    "Pourquoi la lumière est-elle donnée au misérable, et la vie à ceux qui ont l'amertume dans l'âme ?"

    Jérémie 31. 13, 14
    "Je changerai leur deuil en allégresse, et je les consolerai, et je les réjouirai en les délivrant de leur douleur…, dit l'Éternel."


           C'est une des questions poignantes que semblait déjà se poser Job, un des plus anciens croyants des temps bibliques, accablé de malheurs. Pourquoi la souffrance ? Tôt ou tard, chacun se pose cette question et s'interroge sur la signification de sa propre vie, où alternent des jours de bonheur et des jours de douleur, et qui soudain se termine par… plus rien sur la terre, la mort inexorable.


           Le mot “absurde” surgit devant une telle description et pourrait servir d'échappatoire si l'esprit humain l'acceptait. Mais il cherche sans fin.


            La vie de l'homme n'aurait-elle aucune signification, le monde moral n'aurait-il aucune cohérence ? Le beau, la vie, l'amour…, tout cela n'aurait-il aucun sens ? Pourquoi ce douloureux sentiment de solitude et d'ennui, alors que je sens que ma vie devrait être plénitude, communion et amour ?

     

            A ce questionnement bien légitime, des générations de croyants ont trouvé la réponse. Ils témoignent avec joie et certitude que leur esprit n'a réellement connu de repos qu'en Dieu, par la foi en Jésus Christ. Quand j'ai accepté Dieu et son amour pour moi, sa créature, la paix et la lumière ont jailli dans mon cœur assoiffé. A tous ceux qui, humblement, demandent à Dieu la sagesse, il la donne libéralement et ne fait pas de reproches(Jacques 1. 5).


    La Bonne Semence

     

     

     

     



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    La liberté

     

    Jean 8.36 « Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres. »

     

           A la fin d’une interview qu’il accordait à un journaliste, un homme politique fut désarçonné par l’ultime question : « Qu’est-ce que la liberté ? »

     

            De tous temps, l’homme a désiré connaître la liberté. Que de luttes, de sang versé pour tenter de l’obtenir. La France est fière d’être le berceau des libertés nationales. Aujourd’hui, nous connaissons des libertés et des protections sociales comme jamais auparavant. Et pourtant, que de stress, d’angoisses, de suicides. Nous connaissons également la liberté des mœurs. Mais à quel prix ! Maladies vénériennes, nouveaux nés « sans papa », enfants de divorcés qui vivent des déchirements tragiques, etc…


            La Bible nous enseigne que les vraies prisons ne sont pas autour de nous, mais en nous, parfois invisibles parce que intérieures. La plus grande conquête, c’est la conquête de soi-même, car tout homme est esclave de ce qui a triomphé en lui-même. Ne vous êtes-vous pas parfois senti comme prisonnier dans les toiles puissantes d’une araignée cruelle ? A la Croix, Jésus a souffertpour arracher de nos cœurs toutes ces toiles d’araignée. Plus que cela, Il est venu affronter et tuer l’araignée elle-même, le péché, source de toutes nos souffrances et nos échecs. Il est le divin libérateurqui libère l’homme esclave de lui-même, du péché. Il est le divin médecin qui s’approche de celui qui est assez humble pour se reconnaître malade, coupable.


            Laissez Jésus briser vos chaînes intérieures. Cherchez Sa présence, à l’instant. Et repartez libre, transformé par celui qui vous aime et veut votre liberté. La vraie liberté, c’est celle d’n cœur pardonné, d’une conscience purifiée.

    Paul Ettori

     

     

     

     

     

     


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